1. |
Blanc
04:36
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Si tu veux reprendre
Le fil de nos sentiments
Je te dirai sois prudent
Mon amour à moi est grand
Si la maison brûle
Dans mes rêves souvent
C’est parce que j’ai peur pour toi
Tu as encore peur de moi
Pourtant j’ai tout repeint en blanc
Et j’ai ouvert la fenêtre
Je t’attends, je suis fatiguée
Toutes les filles tombent pour toi
Tu es toute la musique rien qu’à toi
Peut-être qu’à force ça nous tuera
Mais vu que je t’aime à mort
Il faudrait que tu m’aimes un peu plus fort
J’ai beaucoup donné
Et je ne veux rien reprendre
Si on se rencontre au milieu
On serait quitte des comptes à rendre
Alors je te tendrai la main
Que tu prendras dans la tienne
Je t’attends, je suis fatiguée
Toutes les filles tombent pour toi
Tu es toute la musique rien qu’à toi
Peut-être qu’à force ça nous tuera
Mais vu que je t’aime à mort
Il faudrait que tu m’aimes un peu plus fort
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2. |
Diachylon
04:16
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Tu peux rester si tu veux
Je suis libre je crois
Je sais que tu as mal
Mais je suis avec toi
Même dans le silence
Dans la fumée qui danse
Trop de cigarettes
Pour faire tourner nos têtes
Je sais à quoi tu penses
Il me reste de la bière
Et je remplis ton verre
La nuit arrivera
La nuit arrivera
Et tu pourras t'étendre
Et je vais tout éteindre
Surtout ton cadran
Pour mieux bouder le temps
Le chien en cuillère
Garde tes arrières
Je lis en attendant
Je lis en attendant
Un conte pour enfant
Un diachylon
Et le vent du sud
Remplira la maison
Jusqu'à demain matin
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3. |
J'ai rêvé
03:38
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J’ai rêvé que tu mettais
Le feu à tes vêtements
Nu devant la fenêtre
L’incendie était si grand
Et tu criais des mots que
Je ne comprenais pas
Les flames montaient
Jusqu’au dessus de mon amour
Pour toi
J’ai eu peur que tu meures
J’ai rêvé que tu cognais
À ma porte sans relâche
Les bruits qui montaient en l’air
Me rendaient folle de rage
Tu cognais, cognais, cognais
Cognais, cognais trop fort
Les éclats de verre ont traversé
Le corridor
J’ai eu peur que tu meures
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4. |
Deadbird
04:00
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Il faut que tu sois forte
Tu dis
Il faut, il faut que tu sois forte
Mais quand tu me regardes
Avec tes grands yeux tristes
Il me semble que toutes les étoiles du ciel
Me regardent aussi
Et mon cœur éclate
Ne lâche pas ma main
Ne lâche lâche pas ma main
Et la ruelle s’étire
Et on chemine chemine
Vers un sans lendemain
Vers mille sans lendemain
Et quand tu me regardes
Avec tes grands yeux tristes
Il me semble que toutes les étoiles du ciel
Me regardent aussi
Et mon cœur éclate
Il faut que tu sois forte
Il faut il faut que tu sois forte
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5. |
Ta salive
03:08
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J'ai mis ma bouche sur tes lèvres
Mais il ne fallait pas
Et on est prisonniers
De ce secret-là
J'ai mis mes mains dans ton chandail
Pour connaître le grain de ta peau
Mes viscères se tenaillent
Ton corps est si chaud
Ta salive coulait dans ma gorge
Avec un goût de liberté
Mes frissons se cramponnent
À cette pensée.
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6. |
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Voilà combien de jours, voilà combien de nuits
Voilà combien de temps que tu es reparti
Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage
Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage
Au printemps, tu verras, je serai de retour
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris
Et déambulerons dans les rues de Paris
Dis, quand reviendras-tu
Dis, au moins le sais-tu
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois
A voir Paris si beau dans cette fin d'automne
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne
Et je tangue, je chavire, et comme la rengaine
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne
Ton image me hante, je te parle tout bas
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi
Dis, quand reviendras-tu
Dis, au moins le sais-tu
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus
J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs
Je reprendrai la route, le monde m'émerveille
J'irai me réchauffer à un autre soleil
Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin
Je n'ai pas la vertu des femmes de marins
Dis, quand reviendras-tu
Dis, au moins le sais-tu
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus...
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7. |
Danse avec moi
03:54
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Ne m'demande pas qui je suis
Fais comme si j'étais n'importe qui
Mets de l'eau dans ton whisky
Tu n'as rien à me prouver
Au lieu de me dire n'importe quoi
Prends-moi dans tes bras embrasse-moi
Laisse tomber ton cinéma
On me l'a déjа trop fait
Danse avec moi tout deux l'un contre l'autre
Laissons nos corps se parler
Danse avec moi ma tête sur ton épaule
Moins longue sera la nuit
Ne m'joue pas la comédie
Comme si j'étais la femme de ta vie
Emmène-moi au bout d'la nuit
On est là pour oublier
Mais au matin on verra bien
Si ça vaut la peine d'aller plus loin
Quand on joue à tout ou rien
On s'en fou de perdre ou de gagner
Danse avec moi tout deux l'un contre l'autre
Laissons nos corps se parler
Danse avec moi ma tête sur ton épaule
Moins longue sera la nuit
Danse avec moi tout deux l'un contre l'autre
Laissons nos corps se parler
Danse avec moi ma tête sur ton épaule
Moins longue sera la nuit
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8. |
Respirer la fumée
04:06
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Déjà quatre saisons
Le temps me paraît tellement long
Un chemin de boucane
Avec aucun signe de floraison
Respirer la fumée
M’étourdir encore
Respirer la fumée
Et détruire mon corps
Et les souvenirs se mêlent un peu trop
Et ma tête fabrique les mots
Je ne marche pas très droit sur le trottoir
Et tu me supportes encore
Et les étincelles que je vois partout
Illuminent ton visage
Je traverse le pont entre ma bouche et ta joue
Comme s’envolent les oiseaux sauvages
Les ivresses s’empilent
Les jours sont des semaines grises
Il faut reprendre les armes
Chasser la boucane, dormir tranquille
Respirer la fumée
Retrouver le nord
Respirer la fumée
Purifier nos corps
Et les souvenirs se mêlent un peu trop
Et ma tête fabrique les mots
Je ne marche pas très droit sur le trottoir
Et tu me supportes encore
Et les étincelles que je vois partout
Illuminent ton visage
Je traverse le pont entre ma bouche et ta joue
Comme s’envolent les oiseaux sauvages
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9. |
PaceMaker
02:56
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Le carrelage vert de la cuisine
Rehausse la couleur de tes yeux
L'image se fixe au fond de mon iris
Je suis amoureuse
Ha! Oui je t'aime pour longtemps
Les mains baladeuses
Laissent tomber la vaisselle
Et ton dos qui se creuse
Quand je t'aime, je chancelle
Ha! Oui je t'aime pour longtemps
Le carrelage vert de la cuisine
Rehausse la couleur de tes yeux
L'image se fixe au fond de mon iris
Je suis amoureuse
Ha! Oui je t'aime pour longtemps
Ha! Oui je t'aime pour longtemps
Il pleut de l'orangeade sur nos épaules
L'hiver est mort
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10. |
Piscine
03:35
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Les mois d’été
S’il faut que je me défende
M’ont redonné
Le goût de te surprendre
Les mois d’été
N’ont pas de jour
N’ont pas de nuit
Et en attendant
Je ne dormirai pas
Désolée, je suis désolée
Bébé laisse-moi t’aimer jusqu’à la mort
Yeah eah eah eah eah yeah
Yeah yeah yeah !!!
Dans la piscine des beaux jours
Dans la piscine des beaux jours
Les mois d’été
Ceux qui nous collent au visage
En grains de beauté
Et qui nous rendent moins sage
Les mois d’été
N’ont pas de jour
N’ont pas de nuit
Et en attendant
Je ne dormirai pas
Désolée, je suis désolée
Bébé laisse-moi t’aimer jusqu’à la mort
Yeah eah eah eah eah yeah
Yeah yeah yeah !!!
Dans la piscine des beaux jours
Dans la piscine des beaux jours
Dans la piscine des beaux jours
Rien n’est lourd
Dans la piscine des beaux jours
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